Tout ce qui touche à la nutrition semble controversé actuellement. Pour ces raisons, il apparaît important, sinon essentiel, de commencer par les bases pour structurer une approche alimentaire. Au-delà des études scientifiques, qui sont extrêmement controversées et qui semblent pouvoir aller dans un sens comme de l’autre selon les biais de la personne, la meilleure étude semble être : comment la physiologie humaine a évolué au fil des millénaires, et même au fil de millions d’années? Qu’est-ce qui semble avoir été constant jusqu’à récemment? Une chose est certaine : les changements apportés à notre diète de façon collective lors des 100 dernières (et plus radicalement, lors des 40-50 dernières) années ne nous vont, mais là pas du tout. Est-ce que c’est une question de sucres ajoutés? Si c’était rien que ça. Aliments transformés? Bon point de départ, mais encore trop simple.
Heureusement, la technologie moderne nous permet maintenant de tester notre statut nutritionnel à coût modeste(50-100$). Quand on parle de nutriments, il n’en existe pas un qui a été plus étudié que les Omégas 3, qui ont été regardés sous tous les angles au cours des dernières décennies. De ces scientifiques, personne ne les a étudiés plus que Dr. Bill Harris. Depuis plusieurs années, Dr. Harris a développé un moyen simple et peu coûteux de mesurer son statut nutritionnel (dans notre sang ; globules rouges) en Omégas 3, statut qui à l’origine se devait d’être globalement probablement beaucoup plus élevé qu’actuellement pour profiter d’une santé quasi-optimale.
1) Omégas 3 : sources et bienfaits proposés
Universellement, les acides gras Omégas 3 sont reconnus comme provenant des produits de la mer. Parmi ceux-ci, voici les meilleures sources d’Omégas 3 :
– saumon
– maquereau
– huile de foie de morue (vendue en bouteille (supplément) de façon prédominante)
– hareng
– sardines
– huîtres
Ce que la plupart ne réalisent pas, c’est que les Omégas 3 étant concentrés dans le gras du poisson, le poisson se doit d’être gras pour en contenir. Par exemple, un poisson blanc comme le sole ou le tilapia ne contient virtuellement pas d’Omégas 3 puisqu’il n’a presque pas de réserves de gras sur lui. Comme les animaux terrestres, les poissons les plus gras sont ceux qui se sont adaptés aux rivières les plus froides et ceux qui effectuent les plus longues migrations. Ces poissons, comme le saumon par exemple, deviennent maîtres dans l’art de stocker du gras pour survivre aux mois de famine. La qualité des gras qu’il stockent dépendent aussi largement de la qualité de la nourriture ingérée : ce qui explique les grandes différences de couleur et de contenu nutritionnel entre un saumon élevé dans un bassin (Atlantique) vs. un saumon sauvage (Pacifique, Alaska typiquement).
Nous appelons ces Omégas 3 des gras essentiels puisque nous ne pouvons les synthétiser nous-mêmes. Ces acides gras essentiels, que nous devons donc obtenir dans la nourriture, sont divisés en 3 catégories :
– acide alpha-linoléique (ALA en anglais ; issu du monde végétal)
– EPA (abréviations en anglais parce qu’ils sont plus reconnaissables ainsi ; issu du monde animal)
– DHA(issu du monde animal)
La conversion du ALA, puisqu’elle provient du monde végétal, est lente et inefficiente ; il a souvent été avancé que cette conversion se fait tellement mal pour certaines personnes qu’une diète végane semble un point d’interrogation pour ceux-ci en excluant un supplément d’Omégas 3 (qui sont maintenant vendus sous forme d’algues marines).
Ce qui nous laisse les deux autres formes, le EPA et DHA, présents dans toutes les cellules du corps humain et critiques pour le développement d’un individu, de la conception jusqu’à maturation (matière à débats, mais 20-25 ans semble adéquat pour maturation complète, surtout du cerveau). Ces acides gras, présents dans le poisson, produits de la mer et viandes élevées convenablement en quantités appréciables seulement, sont aussi présents dans un nombre incalculable d’aliments (noix par exemple), mais qui ne pèsent pas lourd dans la balance, surtout quand on pense à la quantité d’acides gras Omégas 6 qui accompagnent souvent ces aliments, faisant pencher la balance vers un déséquilibre Omégas 3 et 6 important.
2) OMEGAQUANT : Résultats de Tatiana
En plongeant directement vers le test de ma femme, il semble justifié d’avancer de faire le test 6-12 mois avant de penser concevoir, période de temps nécessaire pour ajuster le tir si les résultats ne sont pas optimaux. Dans notre cas, nous étions déjà en retard, et il a fallu ajuster le tir (un peu) alors que ma femme venait juste d’apprendre qu’elle était enceinte. Difficile de dire quelles en seront les conséquences, mais nous serons quoi faire dans le cas éventuel d’un troisième enfant. Nous avons choisi le test complet (100$) qui mesure :
– index (quantité de EPA et DHA dans les globules rouges) d’Oméga 3 dans le sang par rapport au contenu total
– ratio Oméga 3 vs. Oméga 6.
– index de gras trans
– données complètes sur les très nombreux acides gras qui composent le sang d’une personne
Suite aux informations que j’ai recueillies de Dr. Harris, l’Américain moyen possède un index d’Oméga 3 de 3-5% dans ses globules rouges, ce qui semble nettement insuffisant pour une santé optimale, surtout quand on pense qu’on parle d’une moyenne, et que nombre de gens sont à 8-10%! Quoi qu’il en soit, au fil de plusieurs décennies de recherches, Dr. Harris et ses collègues ont déterminéque 8% constituait un chiffre raisonnable à chercher à atteindre pour limiter tous les désavantages pour la santé d’un faible niveau d’acides gras Omégas 3 dans son sang. Ils sont très nombreux, beaucoup plus qu’on pense :
– pression artérielle élevée
– santé cognitive (potentiellement plus de risques de démence de toutes sortes (incluant l’Alzheimer))
– problèmes cardiovasculaires
– longévité plus basse
– grossesse prématurées
– santé des yeux déclinante
Le test d’index d’Oméga 3 est important parce, toujours selon Dr. Harris, il est beaucoup plus simple et efficace de monter ses niveaux d’Omégas 3 (en mangeant plus de poisson gras ou en utilisant des suppléments, ou les deux) que de baisser son apport en Omégas 6. En d’autres mots, en général, nous répondons vraiment mieux à une hausse d’Omégas 3 dans notre diète que la supression d’Omégas 6.
À mon avis, et c’est seulement mon opinion, les Omégas 6 sont tellement partout, sous toutes les formes possibles (huile de canola au restaurant, soya dans tous les produits transformés, ect..) que les gens n’ont en général aucune idée comment les éviter, rendant l’apport en Omégas 3 encore plus important à surveiller.
Quoi qu’il en soit, en Avril 2021, le résultat de Tatiana s’est situé à 5.89%.
Plus élevé que la moyenne sans aucun doute, mais pas exactement à la cible désirée. Évidemment, il apparaît raisonnable de penser que certaines personnes sont génétiquement programmées pour obtenir un chiffre plus bas que d’autres, même utilisant une supplémentation régulière en Omégas 3, mais ça ne semble pas le cas pour ma femme. Consommant du poisson gras autour de 1x par semaine (ce que je considère comme étant proche de la moyenne), elle ”skip” régulièrement sa consommation de suppléments (incluant les Omégas 3), ce qui laisse à penser que ce résultat aurait le potentiel d’être supérieur (8-10%) sans trop d’efforts. C’est ce que nous avons fait au cours des 3 derniers mois (avril-mai-juin 2021).
3) Grossesse prématurée et Conclusion
À l’image de mon introduction, ces informations ne sont certainement pas là pour faire peur aux gens qui désirent avoir un enfant, mais à partir du moment ou j’ai commencé à m’intéresser à cela, j’ai été choqué (femmes dans mon cercle de connaissances très limité, donc potentiellement anecdotique) de constater à quel point beaucoup de grossesses ne se rendent pas à terme. Prédispositions génétiques? Stress et anxiété? Malchance? Il semble y avoir des dizaines de facteurs qui peuvent expliquer ce phénomène (on n’en comprend pas la moitié, ou le quart, ou le dixième), alors il semblerait important d’avoir accès à des chiffres pour avoir le début d’une réponse.
Ces chiffres (du moins selon la Santé Publique du Québec) confirment une hausse marquée des naissances prématurées (naissance avant la 37ième semaine complète de gestation) au Québec entre 1981 et 2017 (1-2% sur une aussi grosse population, c’est beaucoup de bébés!). Qu’est-ce qui a changé pendant cette période, malgré l’amélioration de toutes les technologies permettant d’aider les femmes à accoucher à terme? En assumant que tout le monde ici souhaite voir les femmes accoucher à terme.
Ce qui est certain, c’est que la diète des gens changé depuis 1981. Difficile de mettre le doigt sur tout ça, mais amener son index d’Oméga 3 le plus près possible de 8% semble à la fois très peu dispendieux, facile et rapide à faire. Le risque associé à cette action simple semble très proche de zéro, ce qui est une bénédiction en soi, car chaque action se doit d’être considérée en fonction du risque vs bénéfices. Que ce soit en mangeant plus de poisson gras (éthiquement un point d’interrogation) ou en utilisant mieux nos suppléments (1- les prendre (2-4 grammes par jour) 2- les prendre avec un repas riche en gras (déjeuner souvent) 3- choisir la meilleure qualité possible (ATP Lab, Thorne, Carlson Labs, Metagenics, ect..).
Soyez bons!
OmégaQuant : Comment Mesurer ses Ratios d’Omégas 3 et 6 : Résultats de Tatiana!
Tout ce qui touche à la nutrition semble controversé actuellement. Pour ces raisons, il apparaît important, sinon essentiel, de commencer par les bases pour structurer une approche alimentaire. Au-delà des études scientifiques, qui sont extrêmement controversées et qui semblent pouvoir aller dans un sens comme de l’autre selon les biais de la personne, la meilleure étude semble être : comment la physiologie humaine a évolué au fil des millénaires, et même au fil de millions d’années? Qu’est-ce qui semble avoir été constant jusqu’à récemment? Une chose est certaine : les changements apportés à notre diète de façon collective lors des 100 dernières (et plus radicalement, lors des 40-50 dernières) années ne nous vont, mais là pas du tout. Est-ce que c’est une question de sucres ajoutés? Si c’était rien que ça. Aliments transformés? Bon point de départ, mais encore trop simple.
Heureusement, la technologie moderne nous permet maintenant de tester notre statut nutritionnel à coût modeste(50-100$). Quand on parle de nutriments, il n’en existe pas un qui a été plus étudié que les Omégas 3, qui ont été regardés sous tous les angles au cours des dernières décennies. De ces scientifiques, personne ne les a étudiés plus que Dr. Bill Harris. Depuis plusieurs années, Dr. Harris a développé un moyen simple et peu coûteux de mesurer son statut nutritionnel (dans notre sang ; globules rouges) en Omégas 3, statut qui à l’origine se devait d’être globalement probablement beaucoup plus élevé qu’actuellement pour profiter d’une santé quasi-optimale.
1) Omégas 3 : sources et bienfaits proposés
Universellement, les acides gras Omégas 3 sont reconnus comme provenant des produits de la mer. Parmi ceux-ci, voici les meilleures sources d’Omégas 3 :
– saumon
– maquereau
– huile de foie de morue (vendue en bouteille (supplément) de façon prédominante)
– hareng
– sardines
– huîtres
Ce que la plupart ne réalisent pas, c’est que les Omégas 3 étant concentrés dans le gras du poisson, le poisson se doit d’être gras pour en contenir. Par exemple, un poisson blanc comme le sole ou le tilapia ne contient virtuellement pas d’Omégas 3 puisqu’il n’a presque pas de réserves de gras sur lui. Comme les animaux terrestres, les poissons les plus gras sont ceux qui se sont adaptés aux rivières les plus froides et ceux qui effectuent les plus longues migrations. Ces poissons, comme le saumon par exemple, deviennent maîtres dans l’art de stocker du gras pour survivre aux mois de famine. La qualité des gras qu’il stockent dépendent aussi largement de la qualité de la nourriture ingérée : ce qui explique les grandes différences de couleur et de contenu nutritionnel entre un saumon élevé dans un bassin (Atlantique) vs. un saumon sauvage (Pacifique, Alaska typiquement).
Nous appelons ces Omégas 3 des gras essentiels puisque nous ne pouvons les synthétiser nous-mêmes. Ces acides gras essentiels, que nous devons donc obtenir dans la nourriture, sont divisés en 3 catégories :
– acide alpha-linoléique (ALA en anglais ; issu du monde végétal)
– EPA (abréviations en anglais parce qu’ils sont plus reconnaissables ainsi ; issu du monde animal)
– DHA(issu du monde animal)
La conversion du ALA, puisqu’elle provient du monde végétal, est lente et inefficiente ; il a souvent été avancé que cette conversion se fait tellement mal pour certaines personnes qu’une diète végane semble un point d’interrogation pour ceux-ci en excluant un supplément d’Omégas 3 (qui sont maintenant vendus sous forme d’algues marines).
Ce qui nous laisse les deux autres formes, le EPA et DHA, présents dans toutes les cellules du corps humain et critiques pour le développement d’un individu, de la conception jusqu’à maturation (matière à débats, mais 20-25 ans semble adéquat pour maturation complète, surtout du cerveau). Ces acides gras, présents dans le poisson, produits de la mer et viandes élevées convenablement en quantités appréciables seulement, sont aussi présents dans un nombre incalculable d’aliments (noix par exemple), mais qui ne pèsent pas lourd dans la balance, surtout quand on pense à la quantité d’acides gras Omégas 6 qui accompagnent souvent ces aliments, faisant pencher la balance vers un déséquilibre Omégas 3 et 6 important.
2) OMEGAQUANT : Résultats de Tatiana
En plongeant directement vers le test de ma femme, il semble justifié d’avancer de faire le test 6-12 mois avant de penser concevoir, période de temps nécessaire pour ajuster le tir si les résultats ne sont pas optimaux. Dans notre cas, nous étions déjà en retard, et il a fallu ajuster le tir (un peu) alors que ma femme venait juste d’apprendre qu’elle était enceinte. Difficile de dire quelles en seront les conséquences, mais nous serons quoi faire dans le cas éventuel d’un troisième enfant. Nous avons choisi le test complet (100$) qui mesure :
– index (quantité de EPA et DHA dans les globules rouges) d’Oméga 3 dans le sang par rapport au contenu total
– ratio Oméga 3 vs. Oméga 6.
– index de gras trans
– données complètes sur les très nombreux acides gras qui composent le sang d’une personne
Suite aux informations que j’ai recueillies de Dr. Harris, l’Américain moyen possède un index d’Oméga 3 de 3-5% dans ses globules rouges, ce qui semble nettement insuffisant pour une santé optimale, surtout quand on pense qu’on parle d’une moyenne, et que nombre de gens sont à 8-10%! Quoi qu’il en soit, au fil de plusieurs décennies de recherches, Dr. Harris et ses collègues ont déterminéque 8% constituait un chiffre raisonnable à chercher à atteindre pour limiter tous les désavantages pour la santé d’un faible niveau d’acides gras Omégas 3 dans son sang. Ils sont très nombreux, beaucoup plus qu’on pense :
– pression artérielle élevée
– santé cognitive (potentiellement plus de risques de démence de toutes sortes (incluant l’Alzheimer))
– problèmes cardiovasculaires
– longévité plus basse
– grossesse prématurées
– santé des yeux déclinante
Le test d’index d’Oméga 3 est important parce, toujours selon Dr. Harris, il est beaucoup plus simple et efficace de monter ses niveaux d’Omégas 3 (en mangeant plus de poisson gras ou en utilisant des suppléments, ou les deux) que de baisser son apport en Omégas 6. En d’autres mots, en général, nous répondons vraiment mieux à une hausse d’Omégas 3 dans notre diète que la supression d’Omégas 6.
À mon avis, et c’est seulement mon opinion, les Omégas 6 sont tellement partout, sous toutes les formes possibles (huile de canola au restaurant, soya dans tous les produits transformés, ect..) que les gens n’ont en général aucune idée comment les éviter, rendant l’apport en Omégas 3 encore plus important à surveiller.
Quoi qu’il en soit, en Avril 2021, le résultat de Tatiana s’est situé à 5.89%.
Plus élevé que la moyenne sans aucun doute, mais pas exactement à la cible désirée. Évidemment, il apparaît raisonnable de penser que certaines personnes sont génétiquement programmées pour obtenir un chiffre plus bas que d’autres, même utilisant une supplémentation régulière en Omégas 3, mais ça ne semble pas le cas pour ma femme. Consommant du poisson gras autour de 1x par semaine (ce que je considère comme étant proche de la moyenne), elle ”skip” régulièrement sa consommation de suppléments (incluant les Omégas 3), ce qui laisse à penser que ce résultat aurait le potentiel d’être supérieur (8-10%) sans trop d’efforts. C’est ce que nous avons fait au cours des 3 derniers mois (avril-mai-juin 2021).
3) Grossesse prématurée et Conclusion
À l’image de mon introduction, ces informations ne sont certainement pas là pour faire peur aux gens qui désirent avoir un enfant, mais à partir du moment ou j’ai commencé à m’intéresser à cela, j’ai été choqué (femmes dans mon cercle de connaissances très limité, donc potentiellement anecdotique) de constater à quel point beaucoup de grossesses ne se rendent pas à terme. Prédispositions génétiques? Stress et anxiété? Malchance? Il semble y avoir des dizaines de facteurs qui peuvent expliquer ce phénomène (on n’en comprend pas la moitié, ou le quart, ou le dixième), alors il semblerait important d’avoir accès à des chiffres pour avoir le début d’une réponse.
Ces chiffres (du moins selon la Santé Publique du Québec) confirment une hausse marquée des naissances prématurées (naissance avant la 37ième semaine complète de gestation) au Québec entre 1981 et 2017 (1-2% sur une aussi grosse population, c’est beaucoup de bébés!). Qu’est-ce qui a changé pendant cette période, malgré l’amélioration de toutes les technologies permettant d’aider les femmes à accoucher à terme? En assumant que tout le monde ici souhaite voir les femmes accoucher à terme.
Ce qui est certain, c’est que la diète des gens changé depuis 1981. Difficile de mettre le doigt sur tout ça, mais amener son index d’Oméga 3 le plus près possible de 8% semble à la fois très peu dispendieux, facile et rapide à faire. Le risque associé à cette action simple semble très proche de zéro, ce qui est une bénédiction en soi, car chaque action se doit d’être considérée en fonction du risque vs bénéfices. Que ce soit en mangeant plus de poisson gras (éthiquement un point d’interrogation) ou en utilisant mieux nos suppléments (1- les prendre (2-4 grammes par jour) 2- les prendre avec un repas riche en gras (déjeuner souvent) 3- choisir la meilleure qualité possible (ATP Lab, Thorne, Carlson Labs, Metagenics, ect..).
Soyez bons!