“Shakes” entre les repas, revisité!

Pour réduire les envies entre les repas, voici une stratégie qui fonctionne!

Ce matin, truc rapide pour réduire les envies de collation pas trop saines entre les repas.

À mon avis, la protéine en poudre est injustement controversée en termes d’opinion générale. En fait, elle constitue l’un des seuls aliments transformés qui peut être consommée sans compromettre sa santé. En fait, elle peut être d’une grande aide.

  1. Pour les gens qui ont de la difficulté à obtenir des protéines de qualité de sources solides, peu importe pourquoi.
  2. Pour obtenir une source de protéines facilement disponibles après un entraînement.
  3. Pour remplacer un déjeuner solide.
  4. Dernièrement, lorsque pris avec de l’eau seulement (ainsi que 2-4 capsules d’Oméga 3 pour diminuer la réponse insulinique), elle peut aider à diminuer la faim avant un repas, surtout lorsque beaucoup de nourriture est disponible en même temps (brunchs, ou quarantaines). C’est un des meilleurs trucs (et pratique) pour ne pas saboter les fins de semaines, ou dans le cas d’une quarantaine (je dis ça au hasard), la semaine au complet.

Pour ce qui est de la quantité, je recommande entre 20 grammes et 40 grammes (1 à 2 ”scoops”). Actuellement, Gabrielle Lyon, probablement la référence mondiale (12:00 de la vidéo) pour ce qui est de la recherche sur le lien entre l’apport en protéines et la qualité du tissu musculaire humain démontre qu’en vieillissant, nous bénéficions d’augmenter notre apport en protéines, puisque nous perdons l’habileté de la ”synthétiser” correctement. En français, ça veut simplement dire qu’au quotidien, et suite à un stress physique, il est plus difficile de passer d’un stade catabolique (dégradation des protéines), lors d’un entraînement par exemple, à un stade anabolique (synthèse des protéines), qui se produit grâce à notre diète et du repos (l’hormone de croissance est surtout sécrétée lors du sommeil).

En raison de la descente lente et graduelle (pour les hommes), ou plus abrupte (ménopause chez la femme) des hormones responsables d’accomplir cette tâche, un apport plus élevé en protéines par repas serait idéal d’être consommé (avec un apport réduit en glucides, évidemment). Évidemment, en raison de la qualité plutôt limitée d’une protéine végétale (soya, pois, légumineuses) par rapport à une protéine animale, ces valeurs (20 à 40g) se doivent d’être revues à la hausse. Le problème avec ces protéines végétales est surtout que ces protéines viennent souvent avec des fibres et des anti-nutriments (lectines, ect.) qui compromettent l’absorption de celles-ci. Les légumineuses sont délicieuses, mais elles ne doivent pas (idéalement) constituer l’apport principal en protéines pour un individu.

C’est pourquoi je recommande des acides aminés essentiels (qui ne proviennent pas d’animaux) pour les gens qui ont une diète à base de plantes. Voici un complexe des 20 acides aminés (qui composent une protéine complète), en capsules. Quand on pense alimentation, il est important de revoir nos priorités, à mon avis. Peut-être parler un peu moins de glucides et de gras, et miser sur la quantité et qualité des protéines que nous consommons.

Soyez bons!